J’ai eu l’envie d’écrire que mes oreilles ont dépensé une excellente introduction pour cette nuit : l’émission a eu beau se conclure aux alentours des 2h, je ne regrette pas d’avoir creusé mes yeux. Oui parce que j’ai passé mon baptême de Taratata, avec succès, à l’instant : jusqu’ici, j’avais de lourdes réticences en parties originaires des antécédents de Nagui, ou tous les primes où j’ai eu l’étrange désir tailladant mes tripes de l’expulser de mon poste à coups de machette.
J’ai apprécié la simplicité du produit : lieu simplet, flash-en-arrière un fil de pelote intimiste, un montage cherchant à filmer les joueurs et les chansonniers, le parler plutôt soyeux dans sa franchise du présentateur précédemment tant honni par moi-même, et puis une scène en bois, rien que du parquet en cercle et pas de foutu escalier avec portes coulissantes et des spots en strass, mais juste des enceintes et des micros disposés en sitting made in mai eighty-aight.
Donc Taratata, on se sent à l’aise sur son sofa et on rencontre comme ça des gens sympas qui font des trucs, des trucs parfois moins sympas qu’eux : mais j’ai apprécié regarder des titres de tunes qui ne me plaisent pas, c’est donc, il me modestement semblassusse, un signe de qualité d’orchestration.
Intrigant : j’avais en songes penser à poster dans un autre esprit, mais…
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