Délicieuses pourritures

Le réseau arachnéen a cet inconvénient : il n’est pas inflammable. Du coup, pour régler les différents, nous sommes contraints de baisser bonnes torches et autres instruments révolutionnaires qui ont fait leur temps (je laisse dans ma besace les canons peu maniables et une plume encombrants) et de renvoyer les émissaires patibulaires armés jusqu’aux haut-parleurs.

Tous ?

Aux oubliettes ces ombres de mains de l’ère virtuelle volcanique, il reste des irréductibles sachant s’acheminer jusqu’aux affres des barricades baroques, se faisant figure pour des travailleurs potentiellement opalescents.

Les blogs (des autres), je vais m’en passer mon chemin, ça m’apprendra à me prêter au jeu du regard spéculaire.

Je ne suis pas virtuose, mais je ne suis pas virtuelle : et y a des fois où je l’ai mauvaise parce que d’autres l’ont pour les gens tout entiers. Alors mon jean, toi tu t’occupes de nous et tu flaires rien, tes allergies au pollen et ton addiction au glucose sont autrement suffisantes, pas touche, hein ? Et puis prends garde au henné, il trompe…

Mais j’y pense, ça manque d’un cristal d’acidulé : alors voilà, et voilà.

« Previous post

Leave a Reply