Vingt-quatre heures de la vie d’un homme


Ou comment pourrait être renommé A Single Man. Très sympathique, particulièrement dans son filmage derrière lequel on peut tâter à paumes pleines la réflexion et les questionnements. Un réalisateur de fibre classique dont on peut mesurer la présence, et c’en est réellement agréable.


Un peu plus conformiste mais aux nombreuses bonnes pistes, An Education, qui réjouissant les trois quarts du temps, prend un mauvais virage vers la fin, le conduisant dans le fossé du happy mélo au-dessus duquel on aurait apprécié que sa générale ironie nous dise adieu. Un grain dommage.


Reste Shutter Island, visionné hier, perturbant, angoissant une once, et accompli. Un film questionnant la fêlure et désorientant mes assurances. Les scènes oniriques sont d’une beauté à palper du pouls… Il ne manquera plus que l’Invictus dominicain et le carnet de bal sera plein.

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